Derviche-tourneur au masculin.
C’est un solo tourbillonnant et fascinant que nous propose Alessandro Sciarroni, l’un des chorégraphes-performers italiens les plus doués de sa génération… Non sans lien avec le spectacle Pénélope, dansé magnifiquement par Lisbeth Gruwez lors de la précédente édition Chroma fait du moindre geste, un prétexte à une danse personnelle, délicate et poétique. Le chorégraphe entre en transe, tel un derviche-tourneur et nous propose une invitation vers une fascinante exploration intérieure aux résonances multiples faisant ainsi apparaitre la grâce du tournis.